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Comme son titre l’indique, cette prière constitue un « souvenir » de nos proches disparus. Mais il ne s’agit pas seulement de rappeler leur mémoire. La récitation de ce texte contribue à élever l’âme de la personne que l’on cite dans des niveaux spirituels infinis, car le lien des âmes entre elles ne disparaît jamais. C’est pourquoi elle est dite à la synagogue avec une grande solennité.
Le Yizkor est dit à la synagogue le dernier jour de Pessa’h, le deuxième jour de Chavouot (le premier jour en Israël), à Yom Kippour, et à Chemini Atseret.
Ce sont de grands rendez-vous que les personnes concernées prennent grand soin de ne pas manquer.
Elle est récitée par les descendants du défunt. S’ils ne peuvent pas le faire eux-mêmes, ils ont la possibilité de confier cette tâche à quelqu’un de confiance qui dira le Yizkor à leur place. Cela peut bien sûr être un Rav des Institutions Chné-Or à qui ils indiqueront le nom des personnes à citer.
On a l’usage d’associer cette prière avec un acte de Tsedaka, car celle-ci possède une puissance particulière pour l’élévation désirée. Et ainsi le mérite de tous grandit encore et apporte ses bénédictions dans ce monde et dans l’autre.
Puissions-nous, très bientôt, revoir tous nos disparus avec la venue de Machia’h.
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